Sous ton soleil qui chante et riiiiiiit !

Aux dernières nouvelles nous embarquions dans un bus au Belize à destination de Tulum au Mexique.

Le passage de frontière s’est passé une fois de plus à merveille, le voyage quant à lui était dans un bus confortable (ça faisait longtemps) mais avec la clim à fond, impossible de dormir, juste de grelotter ! Et pourtant on le savait, promis Mamie on s’était habillés chaudement !

On arrive enfin à Tulum à 5h du matin et on s’empresse de sortir du bus pour avoir chaud, manque de bol il a plu dans la nuit, les températures ont chuté, on caille de nouveau. On finit notre nuit sur les bancs du terminal de bus en plein air et ventilé, habillés comme en plein hiver.

A 7h on se décide enfin à partir pour prendre un petit déjeuner, et là, la chance nous sourit car on tombe sur une boulangerie Française : chocolatiiiiiiine en folie ! On part ensuite pour la plage, un petit bain matinal dans les eaux transparentes suffit à nous redonner la pêche.

Vient le moment de récupérer les clés de notre logement que nous avons réservé sur AirBnb, et après 1h de quiproquo on finit par prendre possession des lieux, ouf, comme à la maison pour 3 jours.

L’après-midi est consacrée aux souvenirs, à la baignade et aux courses pour le bon barbecue du soir préparé par notre Chef Séb. Claqués, on se couche tôt après avoir discuté de l’organisation de nos 2 derniers jours ensemble.

Œufs, pancakes et fruits pour le petit déjeuner et nous voilà frais comme des gardons pour partir à la découverte des cenotes. Des quoi ?? Les cenotes sont des trous d’eau en pleine forêt, ils se forment par un phénomène de dissolution et d’effondrement des terrains calcaires situés au-dessus d’un réseau souterrain de grottes et rivières. Ce sont des formations géologiques typiques de la Péninsule du Yucatán, qui forment ainsi des puits naturels, parfois de grande taille. Dans certains, on trouve de l’eau douce en surface et de l’eau salée en profondeur. Jouant un rôle vital pour les Mayas dans cette contrée sèche, ils considéraient ces puits comme un moyen de communication avec les dieux de l’infra-monde, le gouffre représentant une bouche. Ils étaient utilisés comme réserve d’eau douce, mais aussi comme lieu de culte dans lesquels étaient jetées des offrandes. Ce réseau aquatique sous-terrain est unique en son genre. Dans une eau d’une visibilité illimitée, stalagmites et stalactites sont au rendez-vous, mais aussi d’énormes cathédrales souterraines, des jeux de lumières à couper le souffle… Les garçons passeront un moment avec masque et tuba dans ces grottes sous-marines, Charlotte un peu moins à cause de la froideur de l’eau et Androu quasiment pas, juste une brasse pour dire de l’avoir fait : courageuse mais pas téméraire !

Certes ces curiosités de la nature sont fort belles et intéressantes à découvrir mais bien trop touristiques à notre goût, les aménagements ne rendent pas l’endroit naturel.

Bref, nous voilà maintenant partis pour la plage et le site archéologique de Tulum mais ça c’était sans compter sur la maladie soudaine de l’un(e) d’entre nous (pour ne pas donner de nom !). Retour à la casa, film et ragotages pour certain(e)s, dodo et wc pour un(e) autre… Dis comme cela c’est rigolo mais quand à 22h la maladie était encore là on commençait vraiment à se demander si on ne devait pas aller aux urgences.

Comme la nuit porte conseil (rien à voir !), tout est rentré dans l’ordre le lendemain, mais nous restons prudents et au lieu de nous rendre à la réserve naturelle de Sian Ka’an nous passons simplement la fin d’après-midi à visiter le site archéologique de Tulum. Oui, encore un temple maya, mais promis c’est le dernier ! Tulum, qui signifie « forteresse » en maya, est la seule cité que ce peuple a construite en bord de mer. À ses pieds se trouve une immense plage de sable blanc qui s’étend, vierge de construction, sur des kilomètres, grandiose ! Pour la petite histoire, c’est ici que les Mayas virent apparaître les premières caravelles espagnoles en 1518. Ce qui rend ce site unique c’est bien sûr sa magnifique situation, sur une falaise dominant la mer, un vrai paysage de carte postale. Après une ultime baignade dans les Caraïbes, on trinque avec notre dernier mojito, Seb s’affaire au barbecue et on s’affole un peu avant de dormir quand on se rend compte qu’on pensait tous que les copains partaient le lendemain à 16h30, alors qu’en fait le vol est à 14h30 : tous au lit, réveil de bonne heure demain pour partir à l’aéroport de Cancun. On réussit tout de même à changer les billets de bus que l’on avait déjà acheté et finalement nous arrivons sans stress et à l’heure à l’aéroport. Après des embrassades et quelques petites larmichettes, on se quitte heureux d’avoir passé 15 jours de folie ensemble.

Bon, et on va où nous maintenant ?

Pour être tout à fait francs, on ne se sentait pas de partir à l’aventure dans la foulée, on est crevés, mais on n’a pas envie de rester à Cancun, du coup cap sur Islas Mujeres, l’île des femmes, à quelques minutes de là en bateau. Une fois sur place on n’est pas vraiment emballés, on s’attendait à une petite île tranquille comme au Belize mais ici c’est du lourd niveau tourisme ! En plus de cela comme on est samedi, les Mexicains viennent passer le week-end ici, c’est blindé partout et très bruyant. On a croisé un petit garçon tout intrigué de voir une piscine juste à côté de la plage et son papa lui a dit que c’était pour les touristes, « Mais Papa, c’est quoi un touriste ? »…

On vous rassure, on a quand même réussi à se trouver un petit hôtel sympa, une cantine typique et pas chère, et la plage juste au bout de la rue !

 Les chapitres suivants s’intitulent tous : ville coloniale, bouffe, balade, sieste, bouffe !

 Après 3 jours à ne rien faire on remet les sacs sur le dos, il est de plus en plus difficile pour nous de les porter et de les faire et défaire tous les 2/3 jours, sans doute car on sent que la fin du voyage approche… Marche arrière vers l’aéroport de Cancun, on s’envole pour San Cristobal de Las Casas, l’avion étant au même prix que le bus avec 10h de moins de trajet au compteur, on n’a pas réfléchi longtemps. Sur la route pour rejoindre le centre de la ville on a assisté à un très grave accident, on ne va pas rentrer dans les détails mais cela nous a réellement traumatisé.

Nous voilà dans l’état du Chiapas, jouxtant le Guatemala, c’est une région magnifique, montagneuse, au climat rude et à la végétation luxuriante. Les Indiens sont nombreux au Chiapas : plus d’un million sur une population de 3,6 millions d’habitants. Chaque peuple parle sa propre langue et beaucoup ne parlent pas espagnol. Le Chiapas est l’Etat le plus pauvre du Mexique, plus de 80 % des communautés indigènes n’ont ni eau potable, ni électricité bien qu’il dispose de nombreuses ressources naturelles. Depuis 1994, les Indiens du Chiapas se sont organisés afin de revendiquer leurs droits par l’intermédiaire de leur porte-parole, le sous-commandant Marcos. La région est aussi connue pour son ambre, un des plus beaux du monde selon les spécialistes.

Nous posons nos sacs ici pour 2 jours, et on se balade tranquillement à travers ses jolies ruelles pavées, mal ajustées et glissantes. Plus vieille cité espagnole du Chiapas, San Cristóbal a changé de nom pour rendre hommage à l’évêque Bartomolé de Las Casas, défenseur des Indiens. San Cristóbal de Las Casas est une magnifique ville de l’époque coloniale avec ses rues étroites, ses arcades et ses maisons basses aux fenêtres grillagées de fer forgé. Indiens tzotziles et Occidentaux s’y côtoient en un fascinant mélange cosmopolite.

Et sinon qu’est-ce qu’il y a de bon à se mettre sous la dent ? Le premier soir nous avons dîné dans un petit boui-boui tenu par 2 mamies trop mignonnes qui nous ont servi des tacos à la viande (on ne sait pas laquelle) et ensuite nous avons pris un verre d’Esquites (du maïs mélangé à du fromage et de la mayo, entre autre) dans la rue et le deuxième soir nous nous sommes fait un guacamole maison à déguster sur le toit terrasse de notre auberge accompagné par le coucher du soleil, le top.

Nous partons ensuite pour Oaxaca, 12h de bus de nuit, notre dernier long voyage, mais franchement on n’est pas du tout nostalgiques ! Pour se parer contre le froid polaire cette fois on a mis les moyens on a pris nos sacs de couchage mais le chauffeur a préféré alterner entre l’abus de clim et de chauffage donc finalement ça a été inutile ! En arrivant on se rend compte que malgré les cadenas et protection nos sacs ont été ouverts dans les soutes, un couteau multifonctions en moins pour Seb, mais apparemment notre crème pour les hémorroïdes ou les culottes sales d’Androu ne les intéressaient pas ! Enfin on rigole mais on cumule niveau petites galères ces derniers temps.

Nous sommes désormais dans l’état de Oaxaca, du même nom que la ville coloniale que nous allons arpenter durant 2 jours. C’est une ville très vivante, le marché est à ciel ouvert autour du Zocalo (place principale), il fait bon flâner dans ses rues piétonnes où derrière chaque porte notre regard curieux entrevoit un patio fleuri, un cloître ou une fontaine.

Découvrir Oaxaca passe par la découverte de sa cuisine, une des meilleures du pays. On a adoré manger des Tlayudas dans la rue sur des petits bancs bancals et au niveau des pots d’échappement, à côté des locaux, toujours un peu intrigués.

La grande spécialité d’Oaxaca est le Mezcal, un alcool à base d’agave mais assez différent de la Tequila. Il y a plusieurs types de Mezcal selon la distillation, on peut aussi trouver une larve au fond de la bouteille, qui modifie légèrement le gout de la boisson. Les autres spécialités de la région sont le chocolat mélangé à du sucre, de la cannelle et des amandes, et également le fromage à pâte cuite qui se présente sous forme de pelote. Oui bien sûr on a tout testé et on a adoré !

Comme il se passe toujours quelque chose sur les places des villes mexicaines, nous avons eu la chance d’assister à un mariage à gros budget avec une arrivée en limousine Hummer mais surtout à une exposition passionnante sur les tenues traditionnelles de la province.

Nous arrivons désormais à Puebla, la 4ème plus grande ville du pays, un peu déboussolés par tous ces magasins de fringues et de chaussures, la musique qui sort de là à fond.

Le centre est un pur joyau baroque avec ses belles demeures du XVIIIe siècle, ses somptueuses églises et les très belles céramiques locales, les talaveras qui recouvrent les façades de la ville. Puebla est également une capitale gastronomique avec le succulent mole poblano, une sauce aux épices et au chocolat qui accompagne les viandes, la sauce pipian rouge ou verte et les cemitas, sortes de sandwich à la tête de porc. Encore une fois, testé et approuvé pour les Bibous !

Le dimanche on trouve un quartier sympa et calme où on se balade à travers une brocante et des ateliers d’artistes. On finit la journée assis sur un banc du Zocalo comme tout bon Mexicain qui se respecte et le spectacle du jour est d’observer les enfants fous de joie de jouer avec des ballons gonflables de toutes formes, un moment de bonheur simple.

Le lendemain au moment du petit déjeuner on ne comprend pas très bien pourquoi tous les employés de l’auberge ont un masque sur la bouche et le nez, on hésite vraiment à manger puisqu’on pense à une infection ! Quand vient le moment de sortir on hallucine de voir la ville façon apocalypse : les trottoirs sont couverts de cendres. On en demande un peu plus à notre réceptionniste qui nous explique que le volcan Popocateptl a craché très fort dans la nuit et que les cendres sont venues jusqu’ici. C’est l’un des plus célèbres volcans du monde, culminant à 5 230 m, le Popocatépetl est toujours en activité, les Mexicains le surnomment d’ailleurs « la montagne qui fume ». Il est donc rigoureusement interdit de faire son ascension. Bon par contre nous on avait justement prévu d’aller passer la journée dans un village aux alentours pour pouvoir l’admirer de plus près mais on ne va pas s’y aventurer ! D’ailleurs on s’est baladés dans Puebla, puis on a choisi de rentrer dans un musée (Art préhispanique) et ensuite on est allés se mettre à l’abri à l’hôtel car les cendres nous gênaient vraiment. Pour en savoir plus voici un court article en Français.

Après ces 2 jours à Puebla nous sommes heureux d’arriver à Queretaro, une ville de taille raisonnable. Errer dans le centre colonial est un plaisir sans fin, impossible de décrire ici tout ce qu’il y a à découvrir, chaque coin de rue révèle une nouvelle surprise. On compte ainsi plus de 300 églises, temples et couvents dispersés un peu partout dans la ville. Et bien sûr n’oublions pas la spécialité gastronomique du coin : les gorditas (les petites grosses), des galettes épaisses fourrées au fromage à garnir de l’accompagnement de son choix. On vous laisse deviner de quoi nous nous sommes nourris pendant 2 jours !

Le programme des jours suivant était déjà établi, nous devions visiter encore 3 villes et nous rendre dans un sanctuaire de papillon monarque mais ça c’était sans compter que le sanctuaire est fermé à cette période de l’année et que lorsque nous sommes arrivés à Guanajuato nous avons tellement eu le coup de foudre pour cette ville que nous avons décidé de ne pas en bouger !

Imaginez une ville où tout est serré, imbriqué, entrelacé, les rues sont de vrais labyrinthes et bien sûr les maisons toutes colorées. Ajoutez à cela de magnifiques bâtiments religieux, des tas de jardins et de petites places, des cafés et boutiques sympas et une ambiance joyeuse quand les mariachis et les callejoneadas envahissent les places et les rues en bref une ville absolument superbe.

Une des attractions de la ville est « El Callejon del Beso » (la rue des bisous) : la légende dit qu’au 19ème siècle deux amoureux vivaient dans des maisons se faisant face et comme leurs parents ne voulaient pas entendre parler de leur union ils se retrouvaient tous les soirs sur leurs balcons respectifs, si proches (68cm) qu’ils pouvaient s’embrasser !

Ici on se balade dans les callejones, ces rues labyrinthiques mais aussi dans les rues souterraines puisque la ville est un véritable gruyère (c’était le centre minier le plus important du monde à l’époque coloniale) et enfin on grimpe (en funiculaire ou à pied) au sommet de la ville pour profiter d’une des plus belles vue que l’on ait pu avoir durant notre voyage. Un vrai coup de cœur on vous dit !

Et voilà, il nous reste désormais 3 jours, nous allons les consacrer à Mexico.

Le dimanche, la majeure partie du centre historique est piéton et les musées sont gratuits, voilà un programme parfait pour une journée tranquille. On commence par la visite du Musée des Arts Populaires et c’est vraiment à ne pas manquer sous aucun prétexte : toutes les pièces exposées (masques, arbres de vie, poteries, etc.) sont magnifiques et contrairement à certains musées on ne s’est vraiment pas ennuyés.

Nous avons ensuite remonté la rue commerçante Madero jusqu’au Zocalo avec quelques arrêts shoppings mais rien de bien probant… On vous rassure on ne craque pas sur nos derniers jours de voyage, on cherche juste une tenue pour le mariage de nos copains qui aura lieu le lendemain de notre retour ! Bref, une fois arrivés au Zocalo, la place est impressionnante de par sa taille (une des plus grandes du monde) et par tous les monuments qui l’entourent : la cathédrale, le palais national et le palais du gouvernement.

Nous finissons notre journée par un autre moment culturel puisque nous avons assisté à des matchs de lucha libre, le fameux catch à la mexicaine. Ce sport fait vraiment partie de la culture populaire, c’est la sortie en famille du dimanche et c’est franchement très drôle. La Mano Negra a même dédié une de ces chansons pour ces héros du ring : Super Chango. On s’installe, on achète des pop-corn et là les catcheurs arrivent masqués portant capes et slips à paillettes, la musique est à fond, les filles court vêtues font le show et c’est bourré d’auto dérision. L’ambiance est vraiment à son comble durant 2h, on adore (voir la vidéo dans « Silence ça tourne ».) !

Le lundi nous avons passé notre journée à Xochimilco, un site inscrit à l’UNESCO. Depuis l’époque aztèque toute une population de maraîchers vit ici et alimente la capitale en légumes et fleurs. Nous avons embarqué sur une lancha (elles portent toutes un prénom féminin) et la balade a duré 2h à travers les multiples canaux, accompagnés par les vendeurs de bières, de quesadillas, de couronnes de fleurs et des mariachis. Cet endroit est l’un des lieux favoris des mexicains le week end, ils privatisent des lanchas pour y faire la fête à bord.

Enfin, le dernier jour nous avons choisi de découvrir le quartier de Coyoacan. Au début du 20ème siècle ce n’était qu’un petit village colonial entouré de champs et d’étables, le refuge des artistes (c’est ici qu’est née Frida Kahlo) et des intellos. Aujourd’hui englouti par la mégalopole, le quartier a tout de même conservé son charme bohème.

On clôture ce chapitre par les menus de nos dîners : nous sommes allés nous attabler tous les soirs dans un des nombreux stands du Parque de la Alameda et pour faire honneur à la gastronomie mexicaine on a tout goûté et bu des litres (non non pas de bières) d’agua de Jamaica, notre boisson favorite ! Pas sûrs qu’on revienne avec des kilos en moins…

 

Nous avons décidé de passer 3 semaines Mexicaines au calme, nous avons volontairement ralenti notre rythme, tout d’abord car on veut être en forme pour nos 15 derniers jours de voyage avec les copains à Vancouver et à Hawaï mais aussi car c’est nos derniers moments à 2 et qu’une fois rentrés en France nous serons vite repris dans un rythme de vie effréné ! Nous avons également fait le choix de ne pas se jeter sur toutes les visites et attractions touristiques, question de budget (les comptes en banque commencent vraiment à faire la gueule), de temps mais aussi car Androu ayant déjà voyagé au Mexique en 2012 connaissait bien les lieux et que comme dit Seb : « rien ne ressemble plus à un temple maya, qu’un temple maya. ». Enfin tout cela ne nous a pas empêché de passer 3 semaines merveilleuses dans ce si beau pays doté de paysages variés, de monuments sacrés, d’une culture passionnante et d’une gastronomie classée à l’UNESCO, on comprend mieux pourquoi Mathilde (la sœur d’Androu) est restée vivre 6 ans ici.

Vu au Mexique de nos propres yeux :

– Il y a une télé dans toutes les chambres d’hôtel, d’auberge de jeunesse ou d’hostel miteux. Amateurs de telenovelas bonjour !

– On te débarrasse dès le dernier coup de fourchette mis dans la bouche.

– Les couples s’aiment de 7 à 77 ans et ils le montrent sans gêne : tout le monde se galloche dans la rue. C’est tout de même un peu dégueu…

– Les Mexicaines sont beaucoup trop maquillées et c’est souvent très moche !

– Ici c’est comme à Tahiti, les gens ont toujours quelque chose dans la main, souvent très gras, pour grignoter 24h/24.

– On aimerait vraiment qu’en France les places de villages soient aussi animées le soir et avec des stands de bouffes tout autour !

Une réflexion sur “Sous ton soleil qui chante et riiiiiiit !

  1. Salut Andréa et Sébastou….Ici Nelita y Emilio de Bordeos…
    Vous dites :
    –  » Après 3 jours à ne rien faire on remet les sacs sur le dos, il est de plus en plus difficile pour nous de les porter et de les faire et défaire tous les 2/3 jours, sans doute car on sent que la fin du voyage approche…  »

    C’est très juste ! la fin du voyage approche. Et nous avons eu grand plaisir à lire votre aventure …extraordinaire.
    Bravo! Merci et Bon retour !

    – « Ce qu’on retient des Grands Voyages, c’est  » l’Etonnement du Retour  » …!
    Vaste sujet de réflexion, et de méditation ….
    GROS GROS BISOUS DE BORDEAUX, et aussi de CASSAGNES, de LUZECH, et de RION.

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